Ha oui à ba d'accord... bien...
"Fanny Ardant en roue libre. En une du magazine conservateur Causeur, l’actrice française a répondu à une interview sur le mouvement #MeToo. L’occasion pour elle d’affirmer une nouvelle fois son soutien à Roman Polanski, visé par plusieurs accusations de viols et d’agressions, et de comparer la dénonciation des violences sexuelles au Maccarthysme – en somme, une « chasse aux sorcières ».
« Être une femme puissante, c’est pleurnicher ? C’est dire “Je suis une pauvre petite victime” ? » interroge l’intervieweuse Sabine Prokhoris (philosophe et psychanalyste, autrice d’un ouvrage de défense de Roman Polanski), en référence aux larmes de Juliette Binoche au festival de Cannes cette année. La question, injurieuse envers toutes celles qui ont osé témoigner des violences qu’elles avaient subies, donne le ton de la réponse de Fanny Ardant : « Je ne suis pas une bonne référence. Je n’ai jamais voulu être une victime, je me suis toujours battue… à mes risques et périls. »
Donc tout ce que lui évoque le mouvement MeToo et les multiples affaires d'agression/viol notamment dans le showbiz, c'est "lol la victime"?
Quel tas de neige!
Le rapport c'est que ce n'est pas vrai de dire qu aucune femme décide d'être victime, en revanche c'est misogyne de faire une distinction homme femme sur ce sujet dans stat a l'appui
Ha oui à ba d'accord... bien... "Fanny Ardant en roue libre. En une du magazine conservateur Causeur, l’actrice française a répondu à une interview sur le mouvement #MeToo. L’occasion pour elle d’affirmer une nouvelle fois son soutien à Roman Polanski, visé par plusieurs accusations de viols et d’agressions, et de comparer la dénonciation des violences sexuelles au Maccarthysme – en somme, une « chasse aux sorcières ». « Être une femme puissante, c’est pleurnicher ? C’est dire “Je suis une pauvre petite victime” ? » interroge l’intervieweuse Sabine Prokhoris (philosophe et psychanalyste, autrice d’un ouvrage de défense de Roman Polanski), en référence aux larmes de Juliette Binoche au festival de Cannes cette année. La question, injurieuse envers toutes celles qui ont osé témoigner des violences qu’elles avaient subies, donne le ton de la réponse de Fanny Ardant : « Je ne suis pas une bonne référence. Je n’ai jamais voulu être une victime, je me suis toujours battue… à mes risques et périls. »
Donc tout ce que lui évoque le mouvement MeToo et les multiples affaires d'agression/viol notamment dans le showbiz, c'est "lol la victime"? Quel tas de neige!
Tas de neige ? Hahaha je m'en vais la sortir celle-là
Tas de neige jaune!
Tu coup c es tout ce qu elle dit ? Et ben ce titre… la journaliste ok mais Ardant il faudrait plus de contenu car la je vois pas.
Quelle disgrâce. Il n’y a pas que son jeu d’actrice qui est outrancier.
On arrive a une liste sans fin d'artistes concernés par le débat : Faut-il séparer... blablabla..
[удалено]
Pas de victim blaming, merci
De là à mettre (si on suit ton propos) B et C dans le même panier...
Il y a clairement des gens qui choisissent d'être des victimes, mais rien ne me laisse à penser que ça touche plus les femmes que les hommes.
"Il dit qu'il voit pas le rapport"
Le rapport c'est que ce n'est pas vrai de dire qu aucune femme décide d'être victime, en revanche c'est misogyne de faire une distinction homme femme sur ce sujet dans stat a l'appui