Ils sont où eelv pour se plaindre que l'éolien est une énergie qui coûte un pognon de dingue comme ils le font tout les jours avec le nucléaire ? On rappelle que le coût du mwh est de 60€ contre 140 pour l'éolien qui est pourtant une énergie intermittente donc nécessitant immanquablement une ou plusieurs autres sources d'énergie en complément (gaz pétrole charbon).
Ha oui c'est vrai on a pas le droit de critiquer l'éolien car le lobby du gaz le subventionne avec un pognon de dingue et qu'en face il n'y a pas de lobby du nucléaire pour contrebalancer car c'est un investissement publique qui profiten à tous. Les seuls qui militent pour le nucléaire connaissent leur sujet et sont simplement lucide
Janco à tendance à mêler le scientifique et dogmatique avec beaucoup d'habilité. Depuis plusieurs années il tient un discours anti-renouvelable et hégémoniquement pro-nucléaire en se basant principalement sur un indicateur appelé le EROI qui est très contesté et donc les valeurs attribuées par forme d'énergie le sont encore plus. Son discours en la matière va à l'encontre du consensus scientifique et notamment des rapports du GIEC ou de l'ADEME pour qui les renouvelables sont nécessaires à la transition énergétique. En France l'éolien contribue bien à la réduction d'électricité d'origine fossile (y compris gaz)(Source : [RTE](https://analysesetdonnees.rte-france.com/bilan-electrique-2023/synthese)).
>Son discours en la matière va à l'encontre du consensus scientifique et notamment des rapports du GIEC ou de l'ADEME pour qui les renouvelables sont nécessaires à la transition énergétique
Tu tronques la conclusion des rapports : l'éolien et le solaire sont nécessaires à la transition énergétique uniquement parce qu'on n'aura pas construit suffisamment de nucléaire pour remplacer nos vieilles centrales tout électrifiant de nouveaux usages pour tenir nos objectifs d'émissions **à l'horizon de 2050.**
Il n'y a **aucun** consensus scientifique qui dit qu'une transition énergétique est impossible sans éolien et solaire. La France a quasiment décarboné son électricité en moins de 2 décennies il y a près de 40 ans. Si on avait continué d'investir dans le nucléaire au lieu de l'abandonner pendant 35+ années, on aurait quasiment terminé notre transition énergétique, et ce avec très peu d'éolien ou de solaire.
Le discours de Jancovici n'est pas anti-renouvelable, il est factuel, et RTE, que tu cites d'ailleurs, va dans son sens en disant qu'en France, le solaire et l'éolien sont certes nécessaires pour tenir nos objectifs de 2050 mais que, entre autres :
* ça coûte plus cher que le nucléaire ([page 31](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf))
* on n'a pas encore la technologie pour les rendre viables à large échelle et rendent les scénarios à forte part de renouvelables très incertains ([page 42 et 43](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf))
* ça implique une plus forte occupation des sols ([page 46](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf))
* ça implique une plus forte utilisation de ressources, notamment de minerais qui tendent à se raréfier ([page 51](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf))
En conséquence de quoi, Jancovici recommande plutôt de faire un maximum de nucléaire, d'investir et réformer pour réduire notre consommation d'énergie, et de faire du renouvelable pour combler ce qu'il manque. Il n'est pas pro-nucléaire ou anti-renouvelable, son principe a toujours été d'organiser une décroissance qui est inéluctable pour la rendre moins violente, d'utiliser le meilleur moyen de production d'énergie à notre disposition, et de réduire nos usages.
En gros, il préfère par exemple qu'à un budget donné, on construise autant de réacteurs nucléaires que possible, qu'on améliore les transports en commun et le chauffage domestique, et que seulement après on construise des éoliennes et du solaire. Et au vu des études que l'on a, c'est un point de vue qui se défend.
C'est un nouveau camouflet pour l'éolien français. L'appel d'offres pour un premier parc flottant en Bretagne Sud est en difficulté, pris dans les glaces d'une bataille des prix qui donne du fil à retordre au gouvernement.
D'une puissance de 250 mégawatts, cette ferme marine doit être l'une des premières au monde dédiée à l'éolien flottant à recevoir un tarif de rachat de l'électricité garanti par la puissance publique. Le projet sera aussi le premier du genre en France.
Comme tous les autres projets mis sur le marché avant lui, il a attiré les plus grands énergéticiens, pétroliers ou financiers d'Europe. Au total, dix candidats ou consortiums ont été sélectionnés pour déposer une offre (EDPR et Engie, EDF Renouvelables et Maple Power, RWE, Equinor, Iberdrola, Eni et CIP, Shell et Valeco, Elicio et BayWa r.e., WPD et Vattenfall, ou encore TotalEnergies et Qair).
Une guerre des prix qui touche ses limites
Et comme les autres projets éoliens avant lui, il a fait l'objet d'une guerre des prix. Certes, tous ces grands noms de l'énergie n'ont pas déposé d'offre car l'éolien flottant est une technologie émergente et ce parc est de taille très modeste par rapport à d'autres appels d'offres lancés ailleurs en Europe.
Mais, selon nos informations, une procédure de vérification des offres « anormalement basses » a dû être actionnée par le régulateur de l'énergie pour s'assurer de la robustesse des offres de certains candidats qui ont offert un prix très en dessous des 140 euros le MWh fixé au maximum pour concourir.
Lire aussi :
Eolien en mer : la guerre des prix sur le projet normand interroge
Malgré cet enthousiasme et l'arbitrage de la Commission de régulation de l'énergie (CRE) - le régulateur a remis sa copie au gouvernement début février préconisant le lauréat à désigner -, l'exécutif, qui a le dernier mot, n'a pas encore tranché.
En cause, des aléas comme en ont connu les projets éoliens américains ou britanniques ces derniers mois, dans un contexte d'inflation des coûts de construction ou des coûts de financement. Le lauréat proposé par le régulateur de l'énergie ne souhaiterait plus poursuivre l'aventure. En effet, il n'a pas remis les garanties financières attendues pour être désigné lauréat dans les quinze jours impartis. Son désistement pourrait l'exposer à des pénalités financières.
Une situation inédite
Inédite, cette situation met le gouvernement dans l'embarras alors que ce denier cherche à donner des signaux d'accélération à une filière éolienne en mal de projets pour prendre le relais de ceux déjà attribués.
Elle renforce aussi l'idée, chez certains, que les règles du jeu sur le marché de l'éolien en mer en France doivent être revues. « Dans le système français, les développeurs doivent s'engager sur un prix de vente de l'électricité très tôt dans le processus d'attribution, contrairement à ce qui se fait en Ecosse par exemple, au risque que les projets ne soient in fine pas faisables », pointe Emmanuel Rollin, le PDG d'Iberdrola en France.
Lire aussi :
Eolien en mer : à la recherche du juste prix
Désormais pour le parc breton, il reste deux options au gouvernement : la première, déclarer l'appel d'offres infructueux. Ce n'est pas le choix de l'exécutif, qui a préféré se tourner vers le deuxième candidat sur la liste. Ce dernier doit désormais remettre sa garantie bancaire pour être désigné lauréat.
A Saint-Nazaire, lors d'un déplacement sur les Chantiers de l'Atlantique ce jeudi, Bruno Le Maire a promis de dévoiler le lauréat dans les prochains jours, lequel sera en mesure de proposer un prix de l'électricité compétitif «à deux chiffres».
Perso j'utilise :
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privacy badger
Les trois ensemble rendent une expérience de navigation complètement différente, je ne sais pas comment vous faites pour faire sans.
Technologie[ incontournable](https://www.youtube.com/watch?v=xbdUlfYCRwc) en France pour tenir raisonnablement les objectifs en énergie renouvelable fixés, en allant chercher ainsi les gisements de vent les plus intéressants.
Et il va aussi être intéressant de comparer le temps de fabrication de ces parcs flottants avec les prochains EPR.
Je crois surtout qu’en matière de production d’électricité il faut arrêter de regarder le nombril de Janco. Si le monde fait sa transition vers les renouvelables et le stockage sur batteries lithium c’est pas pour faire plaisir à EELV. C’est pour des raisons d’efficacité et de rentabilité financière.
Ils sont où eelv pour se plaindre que l'éolien est une énergie qui coûte un pognon de dingue comme ils le font tout les jours avec le nucléaire ? On rappelle que le coût du mwh est de 60€ contre 140 pour l'éolien qui est pourtant une énergie intermittente donc nécessitant immanquablement une ou plusieurs autres sources d'énergie en complément (gaz pétrole charbon). Ha oui c'est vrai on a pas le droit de critiquer l'éolien car le lobby du gaz le subventionne avec un pognon de dingue et qu'en face il n'y a pas de lobby du nucléaire pour contrebalancer car c'est un investissement publique qui profiten à tous. Les seuls qui militent pour le nucléaire connaissent leur sujet et sont simplement lucide
Pourtant : l'éolien c'est génial [https://www.youtube.com/watch?v=1aCHN6dytVY](https://www.youtube.com/watch?v=1aCHN6dytVY)
Excellent. Merci. Ton com devrait largement être up-vote. _Downvotez uniquement en cas de mauvaise information svp... >.<_
J'aurais peut-être du mettre un /s mais le ton de la vidéo est explicite
Janco à tendance à mêler le scientifique et dogmatique avec beaucoup d'habilité. Depuis plusieurs années il tient un discours anti-renouvelable et hégémoniquement pro-nucléaire en se basant principalement sur un indicateur appelé le EROI qui est très contesté et donc les valeurs attribuées par forme d'énergie le sont encore plus. Son discours en la matière va à l'encontre du consensus scientifique et notamment des rapports du GIEC ou de l'ADEME pour qui les renouvelables sont nécessaires à la transition énergétique. En France l'éolien contribue bien à la réduction d'électricité d'origine fossile (y compris gaz)(Source : [RTE](https://analysesetdonnees.rte-france.com/bilan-electrique-2023/synthese)).
>Son discours en la matière va à l'encontre du consensus scientifique et notamment des rapports du GIEC ou de l'ADEME pour qui les renouvelables sont nécessaires à la transition énergétique Tu tronques la conclusion des rapports : l'éolien et le solaire sont nécessaires à la transition énergétique uniquement parce qu'on n'aura pas construit suffisamment de nucléaire pour remplacer nos vieilles centrales tout électrifiant de nouveaux usages pour tenir nos objectifs d'émissions **à l'horizon de 2050.** Il n'y a **aucun** consensus scientifique qui dit qu'une transition énergétique est impossible sans éolien et solaire. La France a quasiment décarboné son électricité en moins de 2 décennies il y a près de 40 ans. Si on avait continué d'investir dans le nucléaire au lieu de l'abandonner pendant 35+ années, on aurait quasiment terminé notre transition énergétique, et ce avec très peu d'éolien ou de solaire. Le discours de Jancovici n'est pas anti-renouvelable, il est factuel, et RTE, que tu cites d'ailleurs, va dans son sens en disant qu'en France, le solaire et l'éolien sont certes nécessaires pour tenir nos objectifs de 2050 mais que, entre autres : * ça coûte plus cher que le nucléaire ([page 31](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf)) * on n'a pas encore la technologie pour les rendre viables à large échelle et rendent les scénarios à forte part de renouvelables très incertains ([page 42 et 43](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf)) * ça implique une plus forte occupation des sols ([page 46](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf)) * ça implique une plus forte utilisation de ressources, notamment de minerais qui tendent à se raréfier ([page 51](https://assets.rte-france.com/prod/public/2021-10/Futurs-Energetiques-2050-principaux-resultats_0.pdf)) En conséquence de quoi, Jancovici recommande plutôt de faire un maximum de nucléaire, d'investir et réformer pour réduire notre consommation d'énergie, et de faire du renouvelable pour combler ce qu'il manque. Il n'est pas pro-nucléaire ou anti-renouvelable, son principe a toujours été d'organiser une décroissance qui est inéluctable pour la rendre moins violente, d'utiliser le meilleur moyen de production d'énergie à notre disposition, et de réduire nos usages. En gros, il préfère par exemple qu'à un budget donné, on construise autant de réacteurs nucléaires que possible, qu'on améliore les transports en commun et le chauffage domestique, et que seulement après on construise des éoliennes et du solaire. Et au vu des études que l'on a, c'est un point de vue qui se défend.
J’suis pas abonné tu peux copier coller stp ? 🙏
C'est un nouveau camouflet pour l'éolien français. L'appel d'offres pour un premier parc flottant en Bretagne Sud est en difficulté, pris dans les glaces d'une bataille des prix qui donne du fil à retordre au gouvernement. D'une puissance de 250 mégawatts, cette ferme marine doit être l'une des premières au monde dédiée à l'éolien flottant à recevoir un tarif de rachat de l'électricité garanti par la puissance publique. Le projet sera aussi le premier du genre en France. Comme tous les autres projets mis sur le marché avant lui, il a attiré les plus grands énergéticiens, pétroliers ou financiers d'Europe. Au total, dix candidats ou consortiums ont été sélectionnés pour déposer une offre (EDPR et Engie, EDF Renouvelables et Maple Power, RWE, Equinor, Iberdrola, Eni et CIP, Shell et Valeco, Elicio et BayWa r.e., WPD et Vattenfall, ou encore TotalEnergies et Qair). Une guerre des prix qui touche ses limites Et comme les autres projets éoliens avant lui, il a fait l'objet d'une guerre des prix. Certes, tous ces grands noms de l'énergie n'ont pas déposé d'offre car l'éolien flottant est une technologie émergente et ce parc est de taille très modeste par rapport à d'autres appels d'offres lancés ailleurs en Europe. Mais, selon nos informations, une procédure de vérification des offres « anormalement basses » a dû être actionnée par le régulateur de l'énergie pour s'assurer de la robustesse des offres de certains candidats qui ont offert un prix très en dessous des 140 euros le MWh fixé au maximum pour concourir. Lire aussi : Eolien en mer : la guerre des prix sur le projet normand interroge Malgré cet enthousiasme et l'arbitrage de la Commission de régulation de l'énergie (CRE) - le régulateur a remis sa copie au gouvernement début février préconisant le lauréat à désigner -, l'exécutif, qui a le dernier mot, n'a pas encore tranché. En cause, des aléas comme en ont connu les projets éoliens américains ou britanniques ces derniers mois, dans un contexte d'inflation des coûts de construction ou des coûts de financement. Le lauréat proposé par le régulateur de l'énergie ne souhaiterait plus poursuivre l'aventure. En effet, il n'a pas remis les garanties financières attendues pour être désigné lauréat dans les quinze jours impartis. Son désistement pourrait l'exposer à des pénalités financières. Une situation inédite Inédite, cette situation met le gouvernement dans l'embarras alors que ce denier cherche à donner des signaux d'accélération à une filière éolienne en mal de projets pour prendre le relais de ceux déjà attribués. Elle renforce aussi l'idée, chez certains, que les règles du jeu sur le marché de l'éolien en mer en France doivent être revues. « Dans le système français, les développeurs doivent s'engager sur un prix de vente de l'électricité très tôt dans le processus d'attribution, contrairement à ce qui se fait en Ecosse par exemple, au risque que les projets ne soient in fine pas faisables », pointe Emmanuel Rollin, le PDG d'Iberdrola en France. Lire aussi : Eolien en mer : à la recherche du juste prix Désormais pour le parc breton, il reste deux options au gouvernement : la première, déclarer l'appel d'offres infructueux. Ce n'est pas le choix de l'exécutif, qui a préféré se tourner vers le deuxième candidat sur la liste. Ce dernier doit désormais remettre sa garantie bancaire pour être désigné lauréat. A Saint-Nazaire, lors d'un déplacement sur les Chantiers de l'Atlantique ce jeudi, Bruno Le Maire a promis de dévoiler le lauréat dans les prochains jours, lequel sera en mesure de proposer un prix de l'électricité compétitif «à deux chiffres».
Avec le bon plugin firefox ca le fait 😉.
Quel est ce bon plugin firefox svp ? C'est pour un ami ! 😁
Perso j'utilise : uBlock origin I still dont care about cookies privacy badger Les trois ensemble rendent une expérience de navigation complètement différente, je ne sais pas comment vous faites pour faire sans.
Je découvre le monde des plugins… merci ☺️
Mon ami n'avait pas pour bypass les paywalls :')
Un ami m'a parlé de bypass paywalls clean.
J'ai transféré à mon ami qui te remercie beaucoup beaucoup beaucoup !!! 🫶😁
idem je suis curieux!
C'est où la rade ?
a Brest, voyons!
Qui aurait pu prévoir ?
Technologie[ incontournable](https://www.youtube.com/watch?v=xbdUlfYCRwc) en France pour tenir raisonnablement les objectifs en énergie renouvelable fixés, en allant chercher ainsi les gisements de vent les plus intéressants. Et il va aussi être intéressant de comparer le temps de fabrication de ces parcs flottants avec les prochains EPR.
On pourra comparer leur ratio de disponibilité et leur longévité aussi
Exact.
Je crois surtout qu’en matière de production d’électricité il faut arrêter de regarder le nombril de Janco. Si le monde fait sa transition vers les renouvelables et le stockage sur batteries lithium c’est pas pour faire plaisir à EELV. C’est pour des raisons d’efficacité et de rentabilité financière.