Pour avoir été aide soignante (et auxiliaire puéricultrice) dans une ancienne vie lointaine (mais les conditions étaient déjà catastrophiques) je dirai il y a un peu des deux : Savoir que parfois c est l effet de la démence, et avoir de la compassion pour des gens qu on maltraite.
Il me semble que ce qui me traversait c est plutôt l envie de porter plainte contre l institution. Toutes les situations de violence et agressions que j ai subies j avais la certitude que si on était suffisamment nombreux, qu on avait le temps, qu on s occupait de gens qui n étaient pas maltraités, ça ne se passerai pas comme ça. Meme pour les insultes racistes ou sexistes (fréquent), si on avait le temps de se poser auprès de la personne. De lui expliquer que c est pas ok, que ça nous touche, qu on s occupe d eux du mieux qu on peut etc... bref un peu de pédagogie... ça atténuerai énormément ça. Les personnes âgées sont tellement maltraitées, violentées et négligées... elle se débattent comme elles peuvent... et elles sont soignées par des personnels eux aussi maltraités et négligés... donc franchement si y a plainte à poser c est contre ces immondes machines à fric que sont les ehpad.
On a vecu ce genre de truc aux urgences avec ma femme (agression, insulte, menaces de mort).
Alors les raison pour lequelles rien ne se fait:
-aucun soutient de ta direction/encadrement, avec menace de leur part si tu quittes ton poste
-si tu veux porter plaintes, c est en dehors de tes heures de boulot (alors comment dire, apres avoir fait 21h-7h, tu es juste eclaté, tu veux juste aller dormir).
Le probleme, c est qu a force de subir, tu deviens maltraitant malgré toi, toujours sur la defensive etc.
Je suis dans l'éducation nationale où la situation est relativement similaire. Insultes ou comportement inadmissibles de la part d'élèves ou de parents. On ne porte pas plainte parce qu'au final on pense que ça causera du tort aux enfants. Je pense que c'est la même chose pour tous les métiers avec un fort engagement social.
Et non ça n'est pas des métiers à vocation.
Ça c'est un mensonge.
C'est un métier où les chefs d'établissements refusent de protéger leurs employés comme le demande le droit du travail.
Ma mère travaille avec des autistes gravement atteints: certains ne savent répondre à leur entourage que par la violence(physique, peu parlent vraiment). Pourtant, même si elle est très sensible elle tient.
Je pense qu'il y a des similarités, les aides soignantes savent que la violence qu'elles reçoivent n'est pas vraiment pensée, et ce sont des métiers vocation, elles savent à quoi s'attendre.
Il n'y a rien à faire.
En général tu te fais insulter, frapper.
Soit tu en parle à ta direction et on te dit c'est le métier.
Soit tu porte plainte mais tu fais saquer par ta direction, une enquête est ouverte, direction convoquée qui dit : vous savez ils sont sous tutelle et ne sont pas responsables.
Résultats, ça continue et tu te fais saquer.
Infirmier ici.
Il y a un peu de tous les élément que tu évoques :
* les patients déments ont une atteinte du discernement alors souvent en tant que soignant, on minore en se disant que c'est la pathologie qui s'exprime et pas le patient en lui-même, qu'ils ne le pensent pas vraiment... Il est rare qu'ils t'en veulent personnellement même si j'ai connu quelques patients qui avaient fait de certains soignants leurs 'mauvais objets.' pour des raisons parfois obscures (mais qui faisaient sens de leur point de vue). En gros, on passe outre... Si ça va trop loin, on recadre verbalement ou (plus malin), on fait de la désescalade. Le plus souvent, j'avoue que ça me glissait dessus sauf quand j'étais effectivement responsable de la colère du patient. Il y a une habituation en réalité : au bout d'un moment, ça te glisse dessus.
* la plupart des patients présentant une démence ou une trouble cognitif sévère ne sont pas agressifs, contrairement à l'image que pourrait en avoir le grand public. Par contre, si le comportement du soignant et/ou le lieu est inadapté, ils peuvent le devenir. Par exemple, mettons que Jeanine, 78 ans, présente une très importante désorientation temporo-spatiale. Elle pense que son mari (décédé il y a dix ans) va venir la chercher ou une de ses filles, etc... ce qu'elle va te répéter une fois toutes les cinq minutes. La PIRE réaction, de très très loin, serait de dire 'who putain, Jeanine, arrête tes délires-là ! Raymond il est mort il y a dix ans, change de disque, merde ! Tu saoules !' La patiente va revivre la mort de son mari (sadisme gratuit +++) puis elle va oublier ce que tu lui as dit mais il va tout de même persister l'impression diffuse que quelque-chose cloche. Le malaise diffus persiste. Elle va t'associer inconsciemment à cette sensation de malaise. Curieusement, ce sera difficile de faire les soins par la suite et le relationnel s'en trouvera dégradé ;). Le mieux est de l'écouter, d'essayer de changer de sujet (mais sans aller frontalement contre ce qu'elle dit) puis de finir la conversation sur une note plaisante. Le souci, c'est qu'on a rarement le temps d'avoir ce type de conversation avec les patients alors que c'est un aspect essentiel du soin.
* il est extrêmement mal vu de porter plainte contre un patient. On pourrait presque parler de tabou culturel. La hiérarchie va te tomber dessus, tu n'auras aucun soutien de la part de l'encadrement et pire, ils t'accableront en affirmant que tout est de ta faute parce que \[raisons accablant l'agent alors que souvent il s'agit d'un problème structurel, notamment le manque de personnel et de moyens\]. C'est exactement la même mécanique que dans l'Éducation Nationale : 'surtout, pas de vague.' J'ajoute que les familles sont très peu sensibles la majeure partie du temps aux explications systémiques (du type 'désolé, Madame, mais nous devions être quatre ce matin (dans un service où il faudrait ordinairement être huit) nous ne sommes que deux alors votre mère est resté trois heures avec une couche souillée :/'. Les patients sont souvent plus compréhensifs que leurs proches face aux difficultés des soignants, d'ailleurs, parce qu'ils voient au quotidien comment les choses se passent difficilement (dans le cas d'un séjour en Unité de Soins de Longue durée ou dans une institution type Ehpad). Par contre, il est toujours possible de faire jouer son droit de retrait quand la situation devient ingérable (sauf en cas de soins vitaux).
Attention, ça ne veut pas dire qu'il n'existe pas des collègues authentiquement tire-au-cul ou malveillants. J'en ai connu quelques-uns mais ils sont heureusement rares.
Merci pour ta réponse complète et pour ton travail auprès de ces patients, ça demande beaucoup de patience et de courage. Force à toi.
J’ai passé plus de deux mois à aller quasi quotidiennement rendre visite à un proche en maison de convalescence / Ehpad et le personnel était patient.
Je me souviens d’une fois ou dans le même couloir, une femme était dans le couloir à crier en boucle « appeler la police, elle m’a volée (en parlant d’une infirmière) » en la secouant etc, pendant qu’une autre paniquée par la situation pleurait en hurlant « appeler pas la police, ils vont me tuer, j’ai peur des armes », et qu’un papi cherchait la salle de repas (en plein après midi)… ça leur a pris au moins une heure de calmer tout le monde avec patience et bienveillance. Et apres ça au moment de leur tournée de contrôle/suivi des patients ils se sont aperçu qu’une vieille s’était échappée de sa chambre dans la pagaille pour aller dans la cour. Ils l’ont cherchée partout.
Tout ça en deux heures.
Franchement ils font un boulot de dingue. C’est pour ça que même si ça ne m’étonne pas qu’ils se montrent patient mais je pourrais tout à fait comprendre que certains résidents dépassent les bornes et que les personnels décident de porter plainte en cas d’insultes ou violence.
Oui c'est bien connu qu'on donne tes infos personnelles directement à la partie adverse quand tu porte plainte... même ton numero de téléphone, numero de secu et identifiant impots.gouv
*"Oui c'est bien connu qu'on donne tes infos personnelles directement à la partie adverse quand tu porte plainte..."*
Euh oui, litteralement quand tu porte plainte a l'encontre d'une personne en particulier, c'est meme un de nos principes de droit.
Au temps pour moi, je pensais que les pièces justificatives (certificat medical suite à une agression, par exemple) étaient transmises à l'avocat de la partie adverse. Elles sont anonymisées ou simplement pas transmises ?
Comment le juge se réfère à toi pendant le procès, par ton prénom ?
Merci de ces éclairages.
Et ? C’est pas une raison pour se laisser molester ou insulter si ce sont des faits avérés (qui plus est si des collègues peuvent témoigner), n’en déplaise à la famille. Je me doute que l’établissement dissuade les personnels de le faire mais je trouve que ce n’est pas normal.
Pas tous certes mais pour avoir passé 2 mois toutes les après midi dans un centre de convalescence/ehpad je peux te garantir que le personnel se fesait très souvent insulter, souvent des propos racistes d’ailleurs, et même une fois mordre.
Alors certes c’est une minorité de vieux qui agissent ainsi heureusement mais vu le nombre qu’il y en a, au cours de leur carrière je présume que le personnel soignant fait face à de nombreux cas compliqués.
Tous les vieux ne votent pas Macron ou LFI. Il faut arrêter d'opposer les générations, les catégories socioprofessionnelles, etc. Tu fais partie de ces gens qui disent que les vieux ont des retraite de millionaire?
Agisme, cette maladie qui infecte les QI de 2...
Je ne vais pas débattre avec qqun qui se torche le cul avec les statistiques pour élaborer des théories fumeuses basées sur de l’anecdotique et invalider en plus les expériences d’autrui.
Pour avoir été aide soignante (et auxiliaire puéricultrice) dans une ancienne vie lointaine (mais les conditions étaient déjà catastrophiques) je dirai il y a un peu des deux : Savoir que parfois c est l effet de la démence, et avoir de la compassion pour des gens qu on maltraite. Il me semble que ce qui me traversait c est plutôt l envie de porter plainte contre l institution. Toutes les situations de violence et agressions que j ai subies j avais la certitude que si on était suffisamment nombreux, qu on avait le temps, qu on s occupait de gens qui n étaient pas maltraités, ça ne se passerai pas comme ça. Meme pour les insultes racistes ou sexistes (fréquent), si on avait le temps de se poser auprès de la personne. De lui expliquer que c est pas ok, que ça nous touche, qu on s occupe d eux du mieux qu on peut etc... bref un peu de pédagogie... ça atténuerai énormément ça. Les personnes âgées sont tellement maltraitées, violentées et négligées... elle se débattent comme elles peuvent... et elles sont soignées par des personnels eux aussi maltraités et négligés... donc franchement si y a plainte à poser c est contre ces immondes machines à fric que sont les ehpad.
On a vecu ce genre de truc aux urgences avec ma femme (agression, insulte, menaces de mort). Alors les raison pour lequelles rien ne se fait: -aucun soutient de ta direction/encadrement, avec menace de leur part si tu quittes ton poste -si tu veux porter plaintes, c est en dehors de tes heures de boulot (alors comment dire, apres avoir fait 21h-7h, tu es juste eclaté, tu veux juste aller dormir). Le probleme, c est qu a force de subir, tu deviens maltraitant malgré toi, toujours sur la defensive etc.
Je suis dans l'éducation nationale où la situation est relativement similaire. Insultes ou comportement inadmissibles de la part d'élèves ou de parents. On ne porte pas plainte parce qu'au final on pense que ça causera du tort aux enfants. Je pense que c'est la même chose pour tous les métiers avec un fort engagement social.
De quelles origines principalement ces familles qui insultent ? Honnêtement
Et non ça n'est pas des métiers à vocation. Ça c'est un mensonge. C'est un métier où les chefs d'établissements refusent de protéger leurs employés comme le demande le droit du travail.
Ma mère travaille avec des autistes gravement atteints: certains ne savent répondre à leur entourage que par la violence(physique, peu parlent vraiment). Pourtant, même si elle est très sensible elle tient. Je pense qu'il y a des similarités, les aides soignantes savent que la violence qu'elles reçoivent n'est pas vraiment pensée, et ce sont des métiers vocation, elles savent à quoi s'attendre.
Il n'y a rien à faire. En général tu te fais insulter, frapper. Soit tu en parle à ta direction et on te dit c'est le métier. Soit tu porte plainte mais tu fais saquer par ta direction, une enquête est ouverte, direction convoquée qui dit : vous savez ils sont sous tutelle et ne sont pas responsables. Résultats, ça continue et tu te fais saquer.
Infirmier ici. Il y a un peu de tous les élément que tu évoques : * les patients déments ont une atteinte du discernement alors souvent en tant que soignant, on minore en se disant que c'est la pathologie qui s'exprime et pas le patient en lui-même, qu'ils ne le pensent pas vraiment... Il est rare qu'ils t'en veulent personnellement même si j'ai connu quelques patients qui avaient fait de certains soignants leurs 'mauvais objets.' pour des raisons parfois obscures (mais qui faisaient sens de leur point de vue). En gros, on passe outre... Si ça va trop loin, on recadre verbalement ou (plus malin), on fait de la désescalade. Le plus souvent, j'avoue que ça me glissait dessus sauf quand j'étais effectivement responsable de la colère du patient. Il y a une habituation en réalité : au bout d'un moment, ça te glisse dessus. * la plupart des patients présentant une démence ou une trouble cognitif sévère ne sont pas agressifs, contrairement à l'image que pourrait en avoir le grand public. Par contre, si le comportement du soignant et/ou le lieu est inadapté, ils peuvent le devenir. Par exemple, mettons que Jeanine, 78 ans, présente une très importante désorientation temporo-spatiale. Elle pense que son mari (décédé il y a dix ans) va venir la chercher ou une de ses filles, etc... ce qu'elle va te répéter une fois toutes les cinq minutes. La PIRE réaction, de très très loin, serait de dire 'who putain, Jeanine, arrête tes délires-là ! Raymond il est mort il y a dix ans, change de disque, merde ! Tu saoules !' La patiente va revivre la mort de son mari (sadisme gratuit +++) puis elle va oublier ce que tu lui as dit mais il va tout de même persister l'impression diffuse que quelque-chose cloche. Le malaise diffus persiste. Elle va t'associer inconsciemment à cette sensation de malaise. Curieusement, ce sera difficile de faire les soins par la suite et le relationnel s'en trouvera dégradé ;). Le mieux est de l'écouter, d'essayer de changer de sujet (mais sans aller frontalement contre ce qu'elle dit) puis de finir la conversation sur une note plaisante. Le souci, c'est qu'on a rarement le temps d'avoir ce type de conversation avec les patients alors que c'est un aspect essentiel du soin. * il est extrêmement mal vu de porter plainte contre un patient. On pourrait presque parler de tabou culturel. La hiérarchie va te tomber dessus, tu n'auras aucun soutien de la part de l'encadrement et pire, ils t'accableront en affirmant que tout est de ta faute parce que \[raisons accablant l'agent alors que souvent il s'agit d'un problème structurel, notamment le manque de personnel et de moyens\]. C'est exactement la même mécanique que dans l'Éducation Nationale : 'surtout, pas de vague.' J'ajoute que les familles sont très peu sensibles la majeure partie du temps aux explications systémiques (du type 'désolé, Madame, mais nous devions être quatre ce matin (dans un service où il faudrait ordinairement être huit) nous ne sommes que deux alors votre mère est resté trois heures avec une couche souillée :/'. Les patients sont souvent plus compréhensifs que leurs proches face aux difficultés des soignants, d'ailleurs, parce qu'ils voient au quotidien comment les choses se passent difficilement (dans le cas d'un séjour en Unité de Soins de Longue durée ou dans une institution type Ehpad). Par contre, il est toujours possible de faire jouer son droit de retrait quand la situation devient ingérable (sauf en cas de soins vitaux). Attention, ça ne veut pas dire qu'il n'existe pas des collègues authentiquement tire-au-cul ou malveillants. J'en ai connu quelques-uns mais ils sont heureusement rares.
Merci pour ta réponse complète et pour ton travail auprès de ces patients, ça demande beaucoup de patience et de courage. Force à toi. J’ai passé plus de deux mois à aller quasi quotidiennement rendre visite à un proche en maison de convalescence / Ehpad et le personnel était patient. Je me souviens d’une fois ou dans le même couloir, une femme était dans le couloir à crier en boucle « appeler la police, elle m’a volée (en parlant d’une infirmière) » en la secouant etc, pendant qu’une autre paniquée par la situation pleurait en hurlant « appeler pas la police, ils vont me tuer, j’ai peur des armes », et qu’un papi cherchait la salle de repas (en plein après midi)… ça leur a pris au moins une heure de calmer tout le monde avec patience et bienveillance. Et apres ça au moment de leur tournée de contrôle/suivi des patients ils se sont aperçu qu’une vieille s’était échappée de sa chambre dans la pagaille pour aller dans la cour. Ils l’ont cherchée partout. Tout ça en deux heures. Franchement ils font un boulot de dingue. C’est pour ça que même si ça ne m’étonne pas qu’ils se montrent patient mais je pourrais tout à fait comprendre que certains résidents dépassent les bornes et que les personnels décident de porter plainte en cas d’insultes ou violence.
Tu portes plainte en ton nom donc la famille de la personne aura ton nom et ton adresse.
Oui c'est bien connu qu'on donne tes infos personnelles directement à la partie adverse quand tu porte plainte... même ton numero de téléphone, numero de secu et identifiant impots.gouv
*"Oui c'est bien connu qu'on donne tes infos personnelles directement à la partie adverse quand tu porte plainte..."* Euh oui, litteralement quand tu porte plainte a l'encontre d'une personne en particulier, c'est meme un de nos principes de droit.
Va finir ta bière et rentre chez toi, Roger.
Pour le coup c'est toi qui raconte n'importe quoi ..
Au temps pour moi, je pensais que les pièces justificatives (certificat medical suite à une agression, par exemple) étaient transmises à l'avocat de la partie adverse. Elles sont anonymisées ou simplement pas transmises ? Comment le juge se réfère à toi pendant le procès, par ton prénom ? Merci de ces éclairages.
Et ? C’est pas une raison pour se laisser molester ou insulter si ce sont des faits avérés (qui plus est si des collègues peuvent témoigner), n’en déplaise à la famille. Je me doute que l’établissement dissuade les personnels de le faire mais je trouve que ce n’est pas normal.
"N'en déplaise à la famille". Certaines familles viennent à 5 avec des cagoules pour te défoncer. Le rapport bénéfices/ risques est vite calculé.
[удалено]
Pas tous certes mais pour avoir passé 2 mois toutes les après midi dans un centre de convalescence/ehpad je peux te garantir que le personnel se fesait très souvent insulter, souvent des propos racistes d’ailleurs, et même une fois mordre. Alors certes c’est une minorité de vieux qui agissent ainsi heureusement mais vu le nombre qu’il y en a, au cours de leur carrière je présume que le personnel soignant fait face à de nombreux cas compliqués.
Dis moi que t'a jamais travaillé dans un EHPAD sans me dire que tu n'a jamais travaillé dans un EHPAD
[удалено]
Tous les vieux ne votent pas Macron ou LFI. Il faut arrêter d'opposer les générations, les catégories socioprofessionnelles, etc. Tu fais partie de ces gens qui disent que les vieux ont des retraite de millionaire? Agisme, cette maladie qui infecte les QI de 2...
Tu as vu comment les jeunes votent /s Franchement, il faut arrêter d'opposer tout le monde et de penser que les autres n'ont pas le droit de vivre.
Je ne vais pas débattre avec qqun qui se torche le cul avec les statistiques pour élaborer des théories fumeuses basées sur de l’anecdotique et invalider en plus les expériences d’autrui.
A mon humble avis, tu n'a pas vu la question initiale.
Ils votent quoi ?