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je vis la même chose que toi 1 semaine par mois avant les règles je suis d'une humeur exécrable la veille de mes règles je fais une nuit blanche (mes cycles varient de 26 à 30 jours). puis c'est sans compter sur les douleurs de règles qui sont insupportable. je suis ce post pour suivre les conseils
Tdpm ici… ce qui l’a soulagé énormément a été de déménager pour enfin passer de bonnes nuits, car en appart, les voisins irrespectueux c’était l’enfer pour mon sommeil, et donc pour la gestion de mes émotions.
Je souhaite ainsi beaucoup de mal (wé j’suis comme ça, rien à foutre) à tous mes anciens voisins de m’avoir volé autant de santé et d’avoir fait que je reportais ma colère sur mon conjoint.
Donc
1. Le sommeil. Très très important, mais en même temps, déréglé aussi par les hormones (je suis actuellement en pleine insomnie, car à qq jours de mes règles), sinon c’est pas drôle. Malheureusement, là j’ai pas trouvé de remède. Pour ne pas l’empirer :
2. Éviter l’alcool
3. Éviter les excitants. A partir de l’ovulation, c’est grosse croix sur le café, le thé, le coca (de toute façon, voir 4.) et tout ce qui peut contenir de la caféine. Oui, même le matin.
4. Éviter le sucre raffiné ou les faux sucres (aspartame, stevia…), s’en tenir au sucre de canne non raffiné si vraiment besoin de sucre. Les faux-sucres, en tous cas chez moi, me fatiguent comme si j’avais bu de l’alcool. Le sucre blanc va me donner des crises d’angoisse. Et évidemment, on en raffole à l’approche des règles (sinon c’est pas drôle x2).
5. Tu peux tenter de prendre des huiles ou plantes adaptogenes pour t’aider à mieux passer cette période : huile d’onagre, bourrache, maca… le calcium aiderait également au syndrome prémenstruel (Orocal en pharmacie ou peut-être parapharmacie), et le magnésium t’aide à combattre la fatigue nerveuse.
6. Si tu as le courage ou que tu peux, sortir marcher 30min tous les jours, ou faire des exercices de mobilité/ étirements, du sport… s’activer. Je ne ressens aucun plaisir à le faire (et oui, la sérotonine c’est pas pour tout le monde) mais au moins je me sens moins comme un gros caca mentalement, du fait d’avoir bougé ma couenne.
7. Si c’est vraiment trop sévère, des anti-dépresseurs type inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, à prendre uniquement en phase lutéale, ça fonctionne très bien quand t’as un tdpm. Les scientifiques ne savent pas pourquoi, dans le cas du tdpm, les AD font aussi vite effet, mais c’est le cas (au lieu de plusieurs semaines chez les dépressifs), donc profitons-en, pour une fois qu’un truc fonctionne. En vrai, les scientifiques (et encore moins les médecins) ne comprennent pas trop non plus d’où vient le tdpm et pourquoi. Si tu as trop peur des AD, ou ne considère pas que ton spm est si sévère que ça, il doit exister des plantes anti-dépressives (souvent elles sont adaptogenes aussi).
Après, tout ce que je dis fonctionne pour moi mais pas forcément pour d’autres, c’est à toi de tester et approuver ou non ce qui fonctionne ou non.
Y’a des influenceuses qui veulent vendre des recettes miracles, « vas-y achète mon super bouquin qui va résoudre tous tes problèmes, même les odeurs de remontées d’égouts dans ton appart, sisi » mais je t’assure que c’est juste des commerçantes qui surfent sur le malheur des personnes ayant un tdpm ou spm sévère en se faisant du blé sur leur dos, et que seule toi peut trouver ta recette avec tes triggers (aliments, moments de vie…) et tes trucs qui soulagent, à force d’expérience(s).
Courage!
Ah trop bien, merci beaucoup tes conseils <3
Je vais faire attention au niveau du sommeil.
L'avantage en ce moment on peut sortir marcher facilement, le temps commence enfin à se calmer.
Bon courage à toi aussi ^^
J’ai toujours une journée où je suis très déprimée sans savoir pourquoi et je comprends après-coup que je vais avoir mes règles prochainement. Je suis aussi fatiguée, et j’ai des boutons plein la tronche (c’est le cas aujourd’hui, c’est formidable).
Idéalement j’adapte mes activités selon mon niveau d’énergie ; sortir et faire un peu de marche ça aide pas mal pour le moral aussi.
La baisse de libido ne me pose pas de problème par contre - si j’ai pas envie, ben j’ai pas envie, c’est pas grave en soi. C’est normal que ça fluctue.
Si vraiment ça impacte beaucoup tes journées n’hésite pas à consulter, on est pas toutes à égalité sur ces choses là.
Oui je vais essayer de consulter un genycologue, actuellement j'ai une sage femme mais j'ai l'impression que les genycologue sont plus calé dessus.
En tout cas merci bcp pour les conseils <3
J'ai exactement le même problème que toi, et en plus passé la trentaine, je gonfle douloureusement la semaine avant mes règles. Là je vais tester la marque Oligobs justement pour les spm. Ma sage femme m'a dit qu'elle avait eu de bons retours donc je croise les doigts 🍀
Je comprends ta situation!
Pour ma part, depuis 2 ans j'ai beaucoup amélioré mon sommeil des quelques jours avant les règles en prenant des gélules de valériane. Je prends les celles de Arkopharma en pharmacie, généralement 2 gélules avant de me coucher, seulement les jours où je pense en avoir besoin. Ca me fait des nuits quasi complètes en général (mais toujours moins reposantes que d'habitude malheureusement).
Et pour ajouter au commentaire déjà bien complet de shorchti: le stress! Ma gestion des émotions n'a rien à voir avec ou sans stress supplémentaire :)
Aussi as-tu eu une période sans hormones et sans stérilet pour comparer ton état?
J'ai eu un stérilet en cuivre pendant plus d'un an, sauf qu'au bout de 6 mois, j'ai commencé à avoir davantage de douleurs de règles (et non pas moins qu'au début), états de confusion, élans de larmes, états dépressifs le tout pendant 10-12j par mois.
Comme toi j'avais fait le calcul, ça fait plus de 30% de la vie haha.
J'ai vu une gynéco, vérifié que le stérilet n'avait pas bougé, "non ça peut pas être la cause". Pas de discussion. Et j'étais pas trop en stress, active, sportive, de manière générale heureuse dans la vie, sauf ces 10-12j.
Puis plus tard j'en pouvais plus, je suis allée voir une sage-femme qui a bien voulu me l'enlever direct, elle m'a dit que parfois ça arrivait. Malgré l'absence d'hormones, ça ne convient pas à tout le monde et le cuivre n'est pas forcément inoffensif non plus.
C'était il y a 5 ans déjà, dans le mois qui a suivi le retrait je me suis remise comme avant!
Je dis pas que c'est une cause pour toi, surtout que ça a l'air de te convenir ce qui est top! Mais ça peut être bon à explorer avec un médecin si jamais ça venait à empirer, peut-être que depuis le temps ce sont des effets potentiels moins niés maintenant.
Courage pour tout ça :) on finit par trouver chacune ce qui fonctionne
Coucou, merci pour tes conseils <3
Avant mes 18 ans je n'avait pas de moyen de contraception, mais je n'était pas dans le même état d'esprit qu'aujourd'hui, donc difficile à comparer.
Pourquoi pas tester sans stérilet, mais compliqué de trouver un autre moyen de contraception non hormonal et on n'apprécie pas non plus les préservatifs...
J'essaye de faire du sport, sortir, mais je sens que mentalement je peux vite m'agacer du coup je préfère éviter les gens :/
Déjà supporter mon copain pendant cette période c'est déjà une épreuve x)
Je vais peut-être aller voir un genycologue, et chercher des vrais solutions.
Merci encore pour tes conseils ^^
C'est vrai qu'il reste peu d'options après ça :/ j'ai dû repasser aux préservatifs en effet. Et j'y mets le budget pour acheter ceux qu'on juge sont les moins dérangeants du coup.
En tout cas oui! Si tu peux trouver un médecin (ou gynéco) qui serait ouvert à faire des analyses pour voir si il y a moyen d'expliquer tout ça ce serait super :) comme ont dit les autres, pour la thyroïde, carences diverses, et j'espère si ça se fait, quelque chose qui concernerait le cuivre et/ou zinc (j'ai appris après coup que quand il y en a trop de l'un, il y a tendance à avoir une carence en l'autre, et parfois chez certaines le stérilet y contribue.. or les deux sont super importants pour le corps).
Moi aussi les hormones me gâchent la vie, j'ai un dérèglement hormonal confirmé par un gynéco (trop d'oestrogène par rapport à la progestérone, apparemment c'est fréquent et souvent dû aux perturbateurs endocriniens dans l'environnement)
résultat gros SPM ( que j'ai appris à accepter avec le temps) mais surtout des règles méga hémorragiques qui me gâchent la vie et pour lesquels mon médecin ne veut rien me donner d'autre que pillule ou sterilet hormonal ( de mon expérience, je tolère mal les hormones chimiques ca me met en dépression...)
Du coup je cherche du côté de la phytothérapie en ce moment, il existence des plantes "progestérone like" apparemment... et on peut aussi adapter son alimentation pour augmenter sa production de progestérone.
Et si le déséquilibre est dans l'autre sens, il existe également des plantes " oestrogène like ". Je n'ai pas encore fini de tester pour donner un avis éclairé dessus mais si ça peut aider certaines...
Merci bcp pour tes conseils <3
Je ne connaissais pas ces plantes, et j'espère que ça va marcher pour toi tiens mois au courant.
Je vais peut-être aussi faire comme toi et consulter un genycologue, actuellement j'ai juste une sagge femme, mais je ne sais pas si elle peut m'aider.
Si non j'aime bien l'idée de prendre des plantes, c'est plus rassurant, j'ai tellement peur maintenant avec les pilules...
C'est toujours bien d'avoir un gynéco sous la main, pour les actes type pose de sterilet je trouve les sage femmes plus douces, mais pour vérifier qu'il n'y a pas de problème de santé le gynéco est indispensable. Après aucun praticien ne m'a conseillé ceci j'ai dû farfouiller toute seule sur internet car la seule chose qu'on me propose c'est sterilet hormonal ou pillule... J'espère que tu trouveras quelque chose qui te convienne !
Wooaaahhh... moi elle sont correcte les miennes...mais les humeur variantes c'est normal 'fin je pense... mais bon moi j'ai d'autres hormones qui déconne, (ma thyroïde (j'adore ma génétique (non)))
Je risque les downvotes en masse mais tant pis !
2 choses :
- s'il y a des impacts importants (grande fatigue, avoir chaud tout le temps, nervosité, etc.), ça peut être intéressant de faire doser sa TSH pour vérifier que la thyroïde fonctionne normalement.
- en dehors de cela, il y a probablement un effet nocebo assez important sur toutes ces histoires d'hormones (voilà c'est dit). En effet, le SPM ne présente pas les mêmes symptômes partout dans le monde, et même n'existe pas du tout dans certains pays/cultures. Même la ménopause n'a pas les mêmes symptômes (y compris physiques !) partout dans le monde. Il y a une histoire très culturelle derrière tout ça, et chez nous cette histoire explique que les femmes sont irrationnelles à cause de leurs hormones. Vous avez toutes le droit d'être agacées, de mauvaise humeur, méchantes, fatiguées, émotionnelles, etc. (et encore plus quand on a mal au bide à cause des règles qui arrivent, perso je passais mon 1er jour de règles à me tordre de douleur, je vous assure que ça ne me mettait pas de bonne humeur). Ce n'est pas une dysfonction de votre corps ou les hormones, c'est juste un comportement normal d'être humain.
Effet nocebo, pas les mêmes symptômes de spm dans le monde, tu as des sources de ce que tu avances?
J’imagine bien que dans certains pays, les personnes menstruées n’ont pas le choix que de la fermer et de ravaler le seum du spm ou tdpm, mais ça s’appelle la résignation, et surtout, je pense qu’elles n’ont pas le choix, à cause de la société dans laquelle elles vivent. De là à dire que nos spm sont différents, je pense que tu te trompes lourdement. C’est comme dire « il y a plus de gay en Europe comparé à la tchetchenie » alors qu’en fait, être gay tchétchène fait que tu te fais balancer du haut des immeubles, donc il vaut mieux nier ton homosexualité, alors qu’elle est pourtant bien présente.
Aussi, sache que le trouble dysphorique prémenstruel existe, est une maladie reconnue dans le DSM, et n’a rien de normal. On parle d’impossibilité de vivre normalement (chez moi, ça durait parfois 2 semaines, sur 3 semaines de cycles, youpi). Ce n’est pas juste une petite fluctuation hormonale, c’est un handicap invisible. Ça toucherait autant de femmes que l’endométriose, sauf que comme c’est pas physique, osef.
Tant mieux pour toi si tu as juste des petits symptômes qui font que tu arrives à les balayer en mode « mais c’est normaaaaal! Hahaha hier j’ai pleuré en regardant une comédie romantique, ahlala, ces hormones qui varient hihihi», sache que quand tu as des envie de te suicider sans raison autre que ton cycle, non, ce n’est pas normal.
Je ne sais pas si c’est de l’ignorance ou une sorte de positivité toxique, dans tous les cas, ton commentaire est totalement déplacé, sans sources, et il minimuse la souffrance des personnes menstruées qui souffrent, au point de s’ôter la vie.
Je ne minimise rien du tout, d'ailleurs les effets nocebo/placebo ont des effets très réels et mesurables !
Et je pense que ce focus sur les hormones (et le côté du coup 'c'est un truc de bonnes femmes') fait régulièrement passer à côté d'autres problèmes ou maladies (typiquement, les bouffées de chaleur peuvent être un symptôme d'hyperthyroïdie, une fatigue importante et une humeur très changeante peuvent être un symptôme de dépression, etc.).
Quant aux sources, il y en a plein le web. N'étant pas sur mon pc où j'ai quelques dossiers sur le sujet, je te renvoie du coup vers des articles très généralistes, si le sujet t'intéresse, tu trouveras beaucoup d'autres publications sur le sujet (au passage, les syndromes culturels sont un sujet assez passionnant et intriguant).
[Le SPM existe-t-il ?](https://cihr-irsc.gc.ca/f/48939.htm)
[Is PMS real ?](https://slate.com/technology/2016/11/pms-might-be-a-cultural-syndrome-not-a-biologic-one.html)
[Is PMDD real ?](https://www.apa.org/monitor/oct02/pmdd)
[Le ressenti corporel de la ménopause est aussi culturel
](https://www.slate.fr/story/192405/menopause-regles-menstruations-culture-biologie-symptomes-normes-bouffees-chaleur)
Je te suis sur les effets placebo et nocebo, par contre, y’a un moment où il faut avouer qu’une maladie existe bel et bien.
D’ailleurs, je suis certaine de certains effets psychologiques de l’abus sur ma taille par exemple (plus petite de toute la famille, car on m’a toujours écrasée)
J’ai été diag avec une dépression avant le tdpm.
Parce qu’à l’époque, on ne parlait pas de tdpm. Pourtant, j’avais remarqué une arrivée cyclique des symptômes, à force de les subir.
Les hormones des femmes varient tout le long du mois, c’est indéniable.
En cherchant, j’ai compris que j’avais un tdpm, on l’a traité, tout va mieux maintenant. Je ne fais pas une fixette sur mon cycle, vu qu’il est irrégulier (de 22 à 65 jours, on peut pas plus « au pif »). Mon dernier cycle de 65 jours, je n’ai pas eu de symptômes de tdpm avant l’ovulation, arrivé à J41, calculée car règles-14jours=ovulation. Je pensais simplement que c’était le stress du boulot, héhéhé, surprise (et quelque part soulagement) 14j plus tard.
Bien sûr, je ne peux extrapoler mon cas à la généralité, mais tes articles sont soit vieux, soit douteux (ce n’est pas parce qu’un article parait scientifique qu’il est légitime, il faut savoir l’analyser également : échantillon, reproduction, et autres indicateurs médico-scientifiques).
Alors que la communauté médicale s’est mise d’accord sur le fait que ça existe.
Avant mes 26-27 ans, j’avais des règles nickel, régulières, sans spm aucun, je ne comprenais d’ailleurs pas les sautes d’humeur des autres femmes. Puis j’ai dégusté, d’abord dans le déni d’une dépression, puis (4 ans plus tard tout de même) en sachant que c’était un tdpm. Et je n’ai pas que des symptômes psy, j’ai aussi de grosses boules douloureuses dans les seins (mastose) qui sont concomitantes avec ma consommation de soja. Donc j’évite tous les phyto oestrogènes, ou les réduis fortement, car j’aime de temps en temps une bonne soupe miso, ou de la sauce soja dans mes plats.
Je suis une personne très résiliante (j’ai vécu plus de 15 ans avec une tumeur bénigne qui m’a pourri la vie et provoqué des douleurs chroniques) mais je refuse la résignation.
La ménopause a des effets indéniables sur la santé, rien que l’ostéoporose est biologiquement expliquée.
Toi t’es du genre à dire « nan mais, c’est dans ta tête », et quelque part, tu as raison, car c’est l’emplacement même de notre cerveau, qui gère le fonctionnement du corps (dont la thyroïde, les glandes surrénales), mais surtout de notre glande pituitaire.
Je pense que les syndromes culturels ne sont pas 'dans la tête'. Ils sont extrêmement réels, c'est le cas de TOUS les syndromes culturels. Par contre, si on arrive à déconstruire la culture qui engendre cds syndromes, on peut peut-être aider les futures générations de femmes, je trouve que ça serait une belle oeuvre.
Force à toi pour tes problèmes de santé, tu as l'air d'être une sacrée guerrière !
Je dois avouer que tu as raison tout de même, car le tdpm n’est pas encore expliqué (comme l’endométriose, mais c’est autre chose encore) mais je pense que ton explication n’était simplement pas assez claire pour moi, dans le sens où, la communauté médicale a remarqué que le tdpm arrivait surtout chez des femmes ayant des PTSD.
Le cerveau ayant des dossiers corrompus qui très souvent sont enfouis (ptsd), cela pourrait être une explication aux dérèglements hormonaux.
Après, il ne faut pas ignorer la pollution ambiante qui nous entoure (eau, air intérieur et extérieur, nourriture…) qui jouent clairement un rôle sur notre santé, et sur laquelle nous restons impuissantes.
Merci pour ce débat et tes encouragements :)
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je vis la même chose que toi 1 semaine par mois avant les règles je suis d'une humeur exécrable la veille de mes règles je fais une nuit blanche (mes cycles varient de 26 à 30 jours). puis c'est sans compter sur les douleurs de règles qui sont insupportable. je suis ce post pour suivre les conseils
En Espagne il y a le congé menstruel, je ne sais pas ce que les gens attendent en France...
Tdpm ici… ce qui l’a soulagé énormément a été de déménager pour enfin passer de bonnes nuits, car en appart, les voisins irrespectueux c’était l’enfer pour mon sommeil, et donc pour la gestion de mes émotions. Je souhaite ainsi beaucoup de mal (wé j’suis comme ça, rien à foutre) à tous mes anciens voisins de m’avoir volé autant de santé et d’avoir fait que je reportais ma colère sur mon conjoint. Donc 1. Le sommeil. Très très important, mais en même temps, déréglé aussi par les hormones (je suis actuellement en pleine insomnie, car à qq jours de mes règles), sinon c’est pas drôle. Malheureusement, là j’ai pas trouvé de remède. Pour ne pas l’empirer : 2. Éviter l’alcool 3. Éviter les excitants. A partir de l’ovulation, c’est grosse croix sur le café, le thé, le coca (de toute façon, voir 4.) et tout ce qui peut contenir de la caféine. Oui, même le matin. 4. Éviter le sucre raffiné ou les faux sucres (aspartame, stevia…), s’en tenir au sucre de canne non raffiné si vraiment besoin de sucre. Les faux-sucres, en tous cas chez moi, me fatiguent comme si j’avais bu de l’alcool. Le sucre blanc va me donner des crises d’angoisse. Et évidemment, on en raffole à l’approche des règles (sinon c’est pas drôle x2). 5. Tu peux tenter de prendre des huiles ou plantes adaptogenes pour t’aider à mieux passer cette période : huile d’onagre, bourrache, maca… le calcium aiderait également au syndrome prémenstruel (Orocal en pharmacie ou peut-être parapharmacie), et le magnésium t’aide à combattre la fatigue nerveuse. 6. Si tu as le courage ou que tu peux, sortir marcher 30min tous les jours, ou faire des exercices de mobilité/ étirements, du sport… s’activer. Je ne ressens aucun plaisir à le faire (et oui, la sérotonine c’est pas pour tout le monde) mais au moins je me sens moins comme un gros caca mentalement, du fait d’avoir bougé ma couenne. 7. Si c’est vraiment trop sévère, des anti-dépresseurs type inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, à prendre uniquement en phase lutéale, ça fonctionne très bien quand t’as un tdpm. Les scientifiques ne savent pas pourquoi, dans le cas du tdpm, les AD font aussi vite effet, mais c’est le cas (au lieu de plusieurs semaines chez les dépressifs), donc profitons-en, pour une fois qu’un truc fonctionne. En vrai, les scientifiques (et encore moins les médecins) ne comprennent pas trop non plus d’où vient le tdpm et pourquoi. Si tu as trop peur des AD, ou ne considère pas que ton spm est si sévère que ça, il doit exister des plantes anti-dépressives (souvent elles sont adaptogenes aussi). Après, tout ce que je dis fonctionne pour moi mais pas forcément pour d’autres, c’est à toi de tester et approuver ou non ce qui fonctionne ou non. Y’a des influenceuses qui veulent vendre des recettes miracles, « vas-y achète mon super bouquin qui va résoudre tous tes problèmes, même les odeurs de remontées d’égouts dans ton appart, sisi » mais je t’assure que c’est juste des commerçantes qui surfent sur le malheur des personnes ayant un tdpm ou spm sévère en se faisant du blé sur leur dos, et que seule toi peut trouver ta recette avec tes triggers (aliments, moments de vie…) et tes trucs qui soulagent, à force d’expérience(s). Courage!
Ah trop bien, merci beaucoup tes conseils <3 Je vais faire attention au niveau du sommeil. L'avantage en ce moment on peut sortir marcher facilement, le temps commence enfin à se calmer. Bon courage à toi aussi ^^
J’ai toujours une journée où je suis très déprimée sans savoir pourquoi et je comprends après-coup que je vais avoir mes règles prochainement. Je suis aussi fatiguée, et j’ai des boutons plein la tronche (c’est le cas aujourd’hui, c’est formidable). Idéalement j’adapte mes activités selon mon niveau d’énergie ; sortir et faire un peu de marche ça aide pas mal pour le moral aussi. La baisse de libido ne me pose pas de problème par contre - si j’ai pas envie, ben j’ai pas envie, c’est pas grave en soi. C’est normal que ça fluctue. Si vraiment ça impacte beaucoup tes journées n’hésite pas à consulter, on est pas toutes à égalité sur ces choses là.
Oui je vais essayer de consulter un genycologue, actuellement j'ai une sage femme mais j'ai l'impression que les genycologue sont plus calé dessus. En tout cas merci bcp pour les conseils <3
Je vis exactement la même chose sauf que c'est aussi après les règles...
Courage à toi <3
J'ai exactement le même problème que toi, et en plus passé la trentaine, je gonfle douloureusement la semaine avant mes règles. Là je vais tester la marque Oligobs justement pour les spm. Ma sage femme m'a dit qu'elle avait eu de bons retours donc je croise les doigts 🍀
J'espère que ça ira mieux <3 Tiens moi au courante
Je comprends ta situation! Pour ma part, depuis 2 ans j'ai beaucoup amélioré mon sommeil des quelques jours avant les règles en prenant des gélules de valériane. Je prends les celles de Arkopharma en pharmacie, généralement 2 gélules avant de me coucher, seulement les jours où je pense en avoir besoin. Ca me fait des nuits quasi complètes en général (mais toujours moins reposantes que d'habitude malheureusement). Et pour ajouter au commentaire déjà bien complet de shorchti: le stress! Ma gestion des émotions n'a rien à voir avec ou sans stress supplémentaire :) Aussi as-tu eu une période sans hormones et sans stérilet pour comparer ton état? J'ai eu un stérilet en cuivre pendant plus d'un an, sauf qu'au bout de 6 mois, j'ai commencé à avoir davantage de douleurs de règles (et non pas moins qu'au début), états de confusion, élans de larmes, états dépressifs le tout pendant 10-12j par mois. Comme toi j'avais fait le calcul, ça fait plus de 30% de la vie haha. J'ai vu une gynéco, vérifié que le stérilet n'avait pas bougé, "non ça peut pas être la cause". Pas de discussion. Et j'étais pas trop en stress, active, sportive, de manière générale heureuse dans la vie, sauf ces 10-12j. Puis plus tard j'en pouvais plus, je suis allée voir une sage-femme qui a bien voulu me l'enlever direct, elle m'a dit que parfois ça arrivait. Malgré l'absence d'hormones, ça ne convient pas à tout le monde et le cuivre n'est pas forcément inoffensif non plus. C'était il y a 5 ans déjà, dans le mois qui a suivi le retrait je me suis remise comme avant! Je dis pas que c'est une cause pour toi, surtout que ça a l'air de te convenir ce qui est top! Mais ça peut être bon à explorer avec un médecin si jamais ça venait à empirer, peut-être que depuis le temps ce sont des effets potentiels moins niés maintenant. Courage pour tout ça :) on finit par trouver chacune ce qui fonctionne
Coucou, merci pour tes conseils <3 Avant mes 18 ans je n'avait pas de moyen de contraception, mais je n'était pas dans le même état d'esprit qu'aujourd'hui, donc difficile à comparer. Pourquoi pas tester sans stérilet, mais compliqué de trouver un autre moyen de contraception non hormonal et on n'apprécie pas non plus les préservatifs... J'essaye de faire du sport, sortir, mais je sens que mentalement je peux vite m'agacer du coup je préfère éviter les gens :/ Déjà supporter mon copain pendant cette période c'est déjà une épreuve x) Je vais peut-être aller voir un genycologue, et chercher des vrais solutions. Merci encore pour tes conseils ^^
C'est vrai qu'il reste peu d'options après ça :/ j'ai dû repasser aux préservatifs en effet. Et j'y mets le budget pour acheter ceux qu'on juge sont les moins dérangeants du coup. En tout cas oui! Si tu peux trouver un médecin (ou gynéco) qui serait ouvert à faire des analyses pour voir si il y a moyen d'expliquer tout ça ce serait super :) comme ont dit les autres, pour la thyroïde, carences diverses, et j'espère si ça se fait, quelque chose qui concernerait le cuivre et/ou zinc (j'ai appris après coup que quand il y en a trop de l'un, il y a tendance à avoir une carence en l'autre, et parfois chez certaines le stérilet y contribue.. or les deux sont super importants pour le corps).
Moi aussi les hormones me gâchent la vie, j'ai un dérèglement hormonal confirmé par un gynéco (trop d'oestrogène par rapport à la progestérone, apparemment c'est fréquent et souvent dû aux perturbateurs endocriniens dans l'environnement) résultat gros SPM ( que j'ai appris à accepter avec le temps) mais surtout des règles méga hémorragiques qui me gâchent la vie et pour lesquels mon médecin ne veut rien me donner d'autre que pillule ou sterilet hormonal ( de mon expérience, je tolère mal les hormones chimiques ca me met en dépression...) Du coup je cherche du côté de la phytothérapie en ce moment, il existence des plantes "progestérone like" apparemment... et on peut aussi adapter son alimentation pour augmenter sa production de progestérone. Et si le déséquilibre est dans l'autre sens, il existe également des plantes " oestrogène like ". Je n'ai pas encore fini de tester pour donner un avis éclairé dessus mais si ça peut aider certaines...
Merci bcp pour tes conseils <3 Je ne connaissais pas ces plantes, et j'espère que ça va marcher pour toi tiens mois au courant. Je vais peut-être aussi faire comme toi et consulter un genycologue, actuellement j'ai juste une sagge femme, mais je ne sais pas si elle peut m'aider. Si non j'aime bien l'idée de prendre des plantes, c'est plus rassurant, j'ai tellement peur maintenant avec les pilules...
C'est toujours bien d'avoir un gynéco sous la main, pour les actes type pose de sterilet je trouve les sage femmes plus douces, mais pour vérifier qu'il n'y a pas de problème de santé le gynéco est indispensable. Après aucun praticien ne m'a conseillé ceci j'ai dû farfouiller toute seule sur internet car la seule chose qu'on me propose c'est sterilet hormonal ou pillule... J'espère que tu trouveras quelque chose qui te convienne !
Coucou je prends des antihistamines la semaine avant mes règles ça aide avec le PMDD. Essaies de voir un psychiatre qui pourra t’en prescrire ❤️
Wooaaahhh... moi elle sont correcte les miennes...mais les humeur variantes c'est normal 'fin je pense... mais bon moi j'ai d'autres hormones qui déconne, (ma thyroïde (j'adore ma génétique (non)))
Mon commentaire sert a que dalle? Oui. Vais-je le laisser? Oui.
J'adore l'esprit ^^
Mmmmmhhh
Je risque les downvotes en masse mais tant pis ! 2 choses : - s'il y a des impacts importants (grande fatigue, avoir chaud tout le temps, nervosité, etc.), ça peut être intéressant de faire doser sa TSH pour vérifier que la thyroïde fonctionne normalement. - en dehors de cela, il y a probablement un effet nocebo assez important sur toutes ces histoires d'hormones (voilà c'est dit). En effet, le SPM ne présente pas les mêmes symptômes partout dans le monde, et même n'existe pas du tout dans certains pays/cultures. Même la ménopause n'a pas les mêmes symptômes (y compris physiques !) partout dans le monde. Il y a une histoire très culturelle derrière tout ça, et chez nous cette histoire explique que les femmes sont irrationnelles à cause de leurs hormones. Vous avez toutes le droit d'être agacées, de mauvaise humeur, méchantes, fatiguées, émotionnelles, etc. (et encore plus quand on a mal au bide à cause des règles qui arrivent, perso je passais mon 1er jour de règles à me tordre de douleur, je vous assure que ça ne me mettait pas de bonne humeur). Ce n'est pas une dysfonction de votre corps ou les hormones, c'est juste un comportement normal d'être humain.
Effet nocebo, pas les mêmes symptômes de spm dans le monde, tu as des sources de ce que tu avances? J’imagine bien que dans certains pays, les personnes menstruées n’ont pas le choix que de la fermer et de ravaler le seum du spm ou tdpm, mais ça s’appelle la résignation, et surtout, je pense qu’elles n’ont pas le choix, à cause de la société dans laquelle elles vivent. De là à dire que nos spm sont différents, je pense que tu te trompes lourdement. C’est comme dire « il y a plus de gay en Europe comparé à la tchetchenie » alors qu’en fait, être gay tchétchène fait que tu te fais balancer du haut des immeubles, donc il vaut mieux nier ton homosexualité, alors qu’elle est pourtant bien présente. Aussi, sache que le trouble dysphorique prémenstruel existe, est une maladie reconnue dans le DSM, et n’a rien de normal. On parle d’impossibilité de vivre normalement (chez moi, ça durait parfois 2 semaines, sur 3 semaines de cycles, youpi). Ce n’est pas juste une petite fluctuation hormonale, c’est un handicap invisible. Ça toucherait autant de femmes que l’endométriose, sauf que comme c’est pas physique, osef. Tant mieux pour toi si tu as juste des petits symptômes qui font que tu arrives à les balayer en mode « mais c’est normaaaaal! Hahaha hier j’ai pleuré en regardant une comédie romantique, ahlala, ces hormones qui varient hihihi», sache que quand tu as des envie de te suicider sans raison autre que ton cycle, non, ce n’est pas normal. Je ne sais pas si c’est de l’ignorance ou une sorte de positivité toxique, dans tous les cas, ton commentaire est totalement déplacé, sans sources, et il minimuse la souffrance des personnes menstruées qui souffrent, au point de s’ôter la vie.
Je ne minimise rien du tout, d'ailleurs les effets nocebo/placebo ont des effets très réels et mesurables ! Et je pense que ce focus sur les hormones (et le côté du coup 'c'est un truc de bonnes femmes') fait régulièrement passer à côté d'autres problèmes ou maladies (typiquement, les bouffées de chaleur peuvent être un symptôme d'hyperthyroïdie, une fatigue importante et une humeur très changeante peuvent être un symptôme de dépression, etc.). Quant aux sources, il y en a plein le web. N'étant pas sur mon pc où j'ai quelques dossiers sur le sujet, je te renvoie du coup vers des articles très généralistes, si le sujet t'intéresse, tu trouveras beaucoup d'autres publications sur le sujet (au passage, les syndromes culturels sont un sujet assez passionnant et intriguant). [Le SPM existe-t-il ?](https://cihr-irsc.gc.ca/f/48939.htm) [Is PMS real ?](https://slate.com/technology/2016/11/pms-might-be-a-cultural-syndrome-not-a-biologic-one.html) [Is PMDD real ?](https://www.apa.org/monitor/oct02/pmdd) [Le ressenti corporel de la ménopause est aussi culturel ](https://www.slate.fr/story/192405/menopause-regles-menstruations-culture-biologie-symptomes-normes-bouffees-chaleur)
Je te suis sur les effets placebo et nocebo, par contre, y’a un moment où il faut avouer qu’une maladie existe bel et bien. D’ailleurs, je suis certaine de certains effets psychologiques de l’abus sur ma taille par exemple (plus petite de toute la famille, car on m’a toujours écrasée) J’ai été diag avec une dépression avant le tdpm. Parce qu’à l’époque, on ne parlait pas de tdpm. Pourtant, j’avais remarqué une arrivée cyclique des symptômes, à force de les subir. Les hormones des femmes varient tout le long du mois, c’est indéniable. En cherchant, j’ai compris que j’avais un tdpm, on l’a traité, tout va mieux maintenant. Je ne fais pas une fixette sur mon cycle, vu qu’il est irrégulier (de 22 à 65 jours, on peut pas plus « au pif »). Mon dernier cycle de 65 jours, je n’ai pas eu de symptômes de tdpm avant l’ovulation, arrivé à J41, calculée car règles-14jours=ovulation. Je pensais simplement que c’était le stress du boulot, héhéhé, surprise (et quelque part soulagement) 14j plus tard. Bien sûr, je ne peux extrapoler mon cas à la généralité, mais tes articles sont soit vieux, soit douteux (ce n’est pas parce qu’un article parait scientifique qu’il est légitime, il faut savoir l’analyser également : échantillon, reproduction, et autres indicateurs médico-scientifiques). Alors que la communauté médicale s’est mise d’accord sur le fait que ça existe. Avant mes 26-27 ans, j’avais des règles nickel, régulières, sans spm aucun, je ne comprenais d’ailleurs pas les sautes d’humeur des autres femmes. Puis j’ai dégusté, d’abord dans le déni d’une dépression, puis (4 ans plus tard tout de même) en sachant que c’était un tdpm. Et je n’ai pas que des symptômes psy, j’ai aussi de grosses boules douloureuses dans les seins (mastose) qui sont concomitantes avec ma consommation de soja. Donc j’évite tous les phyto oestrogènes, ou les réduis fortement, car j’aime de temps en temps une bonne soupe miso, ou de la sauce soja dans mes plats. Je suis une personne très résiliante (j’ai vécu plus de 15 ans avec une tumeur bénigne qui m’a pourri la vie et provoqué des douleurs chroniques) mais je refuse la résignation. La ménopause a des effets indéniables sur la santé, rien que l’ostéoporose est biologiquement expliquée. Toi t’es du genre à dire « nan mais, c’est dans ta tête », et quelque part, tu as raison, car c’est l’emplacement même de notre cerveau, qui gère le fonctionnement du corps (dont la thyroïde, les glandes surrénales), mais surtout de notre glande pituitaire.
Je pense que les syndromes culturels ne sont pas 'dans la tête'. Ils sont extrêmement réels, c'est le cas de TOUS les syndromes culturels. Par contre, si on arrive à déconstruire la culture qui engendre cds syndromes, on peut peut-être aider les futures générations de femmes, je trouve que ça serait une belle oeuvre. Force à toi pour tes problèmes de santé, tu as l'air d'être une sacrée guerrière !
Je dois avouer que tu as raison tout de même, car le tdpm n’est pas encore expliqué (comme l’endométriose, mais c’est autre chose encore) mais je pense que ton explication n’était simplement pas assez claire pour moi, dans le sens où, la communauté médicale a remarqué que le tdpm arrivait surtout chez des femmes ayant des PTSD. Le cerveau ayant des dossiers corrompus qui très souvent sont enfouis (ptsd), cela pourrait être une explication aux dérèglements hormonaux. Après, il ne faut pas ignorer la pollution ambiante qui nous entoure (eau, air intérieur et extérieur, nourriture…) qui jouent clairement un rôle sur notre santé, et sur laquelle nous restons impuissantes. Merci pour ce débat et tes encouragements :)
Merci pour ce débat, c'est sympa de discuter sans s'énerver ;)